Il existe désormais plus de 600 stations “fantômes” qui ne fonctionnent plus mais qui ne peuvent fermer faute d’aides à la dépollution.
La distribution de carburant par les supermarchés représente 60% des volumes et contribue à fragiliser l’activité des commerces de proximité.
Avec les normes et la règlementation, les contraintes économiques et la transition écologique, l’installation de stations “classiques” dans certains territoires ruraux ou urbains devient très difficile et obsolète…